Aujourd’hui, quelques dessins de minots pour bien commencer l’été.
Bon été à tous, on se retrouve la saison prochaine pour de nouvelles paroles de minot 😄
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Aujourd’hui, quelques dessins de minots pour bien commencer l’été.
Bon été à tous, on se retrouve la saison prochaine pour de nouvelles paroles de minot 😄
Aujourd’hui je vous partage un poème écrit dans la galère.
OUI OU NON
Pour un oui, pour un non Ils ne seront jamais comme nous
La rue, c’est dur, c’est
Soit les études ou la purge
M’vie tient à un bout de fil
J’ai quitté ma famille
Soit disant pour avoir une vie meilleure
J’ai quitté ma go
Parce que j’me sentais toujours seul
J’ai quitté le quartier
Deux, trois potos m’ ont toujours soutenu
J’ai quitté l’Italie
Pour être un caïd dans le 13
Seul dans la rue sans fortune
A la recherche de mon destin
Avoir un gosse
Avant la fin
Ça serait cool
J’suis le fruit d’une Déesse (ma mère)
J’suis l’espoir de toute une génération
Nos mères ont grave souffert
Alors arrêtons de les faire pleurer
J’sais toujours pas quoi faire de M’vie
J’ai dix mille idées à la minute
D’autres disent que c’est la folie
Paranoid et trompé à la fois
Personne n’a pu tenir sa parole
Tu me manques et la petite Bintou
Je ne serai pas loin, au cas où
Pour te ramener un parapluie en cas de pluie
Ou que je sois, je pense à toi j’t’aime
Je sais que ton Dieu veille sur moi Maman
Mon âme est en cavale dans les rues de Marseille. à la recherche du bonheur.
Je souhaite aussi partager avec vous cette musique de DJ Arafat
Rdv en début de semaine prochaine pour une nouvelle parole de minot 😉 Likez, partagez, bouléguez !
Bonne écoute à vous !
Bonjour, je me présente, Losseny Doumbia, j’ai 20 ans, d’origine ivoirienne, je vis à Marseille depuis 2017. A l’âge de 15 ans, j’ai quitté ma ville natale Man (Côte d’Ivoire).
Après avoir traversé le Burkina, le Niger, et la Libye pendant 5 mois de terreur et d’embûches, nous étions comme du bétail, aucun droit de vivre.
D’où j’ai perdu mes frères d’âme, des amis que je n’oublierai jamais. Paix et repos pour leurs âmes.
Puis je me retrouve en Europe, en Italie. Cette périlleuse traversée m’a appris une chose : « Peu importe le temps et l’endroit où l’on se trouve, on restera toujours l’esclave de quelque chose ».
Après un an passé en Italie, dans la joie et la tristesse, je décide de venir en France pour avoir une nouvelle vie.
Arrivé en France en septembre 2017, sans parents, sans famille, seul dans les rues de Marseille, à la recherche du meilleur de moi-même, je tombe dans une dépression de plus de 4 mois. Mais grâce aux prières de ma famille et à la belle âme d’une dame qui m’a beaucoup aidé, je commence à reprendre goût à la vie.
En fin 2018, je commence une alternance dans une brasserie en tant qu’opérateur en logistique.
En 2020, je commence mon baccalauréat professionnel toujours dans le domaine de la logistique.
En fin janvier 2022, j’ai eu le privilège d’être reçu à l’Elysée par le président de la République pour recevoir le prix du meilleur apprenti brasseur de France.
Rendez-vous en début de semaine prochaine pour une nouvelle parole de minot. Likez, partagez, bouléguez ! 😄
J’ai 17 ans. Je viens de Guinée Conakry. Je suis arrivé à Marseille en novembre 2021.
J’ai grandi auprès de ma mère et son mari. J’étais un grand soutien pour ma maman. Je l’aidais plus que son mari. Elle se levait à 5h pour vendre au marché et rentrer à 14h. Quand je pouvais, je l’amenais, et je faisais en sorte de l’aider au maximum. Depuis que je suis parti, je ne lui parle pas beaucoup. Parfois, quand son mari m’appelle. Mais je ne m’entends pas très bien avec lui, c’est principalement pour cela que je suis parti.
Mon père et ma mère n’ont pas la même religion. Mon papa vient de Guinée forestière, il est « guerze »(chrétien), alors que ma maman est musulmane. On ne me donne pas les mêmes prénoms dans la famille de mon père que dans celle de ma mère. Mon père venait me récupérer, quelques fois, pour m’acheter des choses, mais ma mère n’aimait pas ça.
Après avoir quitté l’école, j’ai travaillé au port autonome comme apprenti pendant 6 mois. Nous faisions des voyages dans les pays limitrophes de la Guinée, notamment au Sénégal sur de courtes périodes. Un jour, nous sommes arrivés à la frontière entre le Sénégal et la Guinée, mais seuls le convoyeur et le chauffeur ont pu passer. Je n’étais qu’apprenti, alors on m’a dit de rentrer en Guinée. C’est là que j’ai décidé de partir, et j’ai quitté la Guinée fin 2020 pour aller au Mali.
Au Mali, j’ai rencontré un jeune guinéen à la gare (là où on prenait le bus) et on a décidé de faire le chemin ensemble jusqu’en Europe. À Tombouctou, nous avons pris un convoi qui a traversé le désert pendant 4 jours jusqu’à Infara. On était 180 mais 30 personnes n’ont pas pu passer la frontière car elles se sont fait attraper et elles ont dû retourner dans le désert sans eau… donc elles sont mortes.
Avec mon ami, on avait tout planifié. Lui, il avait un frère en Algérie, qui connaissait quelqu’un qui envoyait les gens à la frontière. Nous sommes alors allés ensemble jusqu’en Algérie. Son frère nous a accueilli dans un chantier. J’ai un peu travaillé dans un chantier. Nous y sommes restés presque 4 mois.
j’ai 17 ans. Je viens de Guinée Conakry. Je suis arrivé à Marseille en novembre 2021. J’ai grandi auprès de ma mère et son mari. J’étais un grand soutien pour ma maman. Je l’aidais plus que son mari. Elle se levait à 5h pour vendre au marché et rentrer à 14h. Quand je pouvais, je l’amenais, et je faisais en sorte de l’aider au maximum. Depuis que je suis parti, je ne lui parle pas beaucoup. Parfois, quand son mari m’appelle. Mais je ne m’entends pas très bien avec lui, c’est principalement pour cela que je suis parti. Mon père et ma mère n’ont pas la même religion. Mon papa vient de Guinée forestière, il est « guerze »(chrétien), alors que ma maman est musulmane. On ne me donne pas les mêmes prénoms dans la famille de mon père que dans celle de ma mère. Mon père venait me récupérer, quelques fois, pour m’acheter des choses, mais ma mère n’aimait pas ça. Après avoir quitté l’école, j’ai travaillé au port autonome comme apprenti pendant 6 mois. Nous faisions des voyages dans les pays limitrophes de la Guinée, notamment au Sénégal sur de courtes périodes. Un jour, nous sommes arrivés à la frontière entre le Sénégal et la Guinée, mais seuls le convoyeur et le chauffeur ont pu passer. Je n’étais qu’apprenti, alors on m’a dit de rentrer en Guinée. C’est là que j’ai décidé de partir, et j’ai quitté la Guinée fin 2020 pour aller au Mali. Au Mali, j’ai rencontré un jeune guinéen à la gare (là où on prenait le bus) et on a décidé de faire le chemin ensemble jusqu’en Europe. À Tombouctou, nous avons pris un convoi qui a traversé le désert pendant 4 jours jusqu’à Infara. On était 180 mais 30 personnes n’ont pas pu passer la frontière car elles se sont fait attraper et elles ont dû retourner dans le désert sans eau… donc elles sont mortes. Avec mon ami, on avait tout planifié. Lui, il avait un frère en Algérie, qui connaissait quelqu’un qui envoyait les gens à la frontière. Nous sommes alors allés ensemble jusqu’en Algérie. Son frère nous a accueilli dans un chantier. J’ai un peu travaillé dans un chantier. Nous y sommes restés presque 4 mois. On a ensuite repris le chemin avec mon ami pour aller en Tunisie. On ne travaillait pas, on n’avait pas de quoi manger, mais on était ensemble. Il avait fait des vacances au Sénégal et avait appris à pécher. En tout, nous avons passé 8 mois ensemble, mais il est parti en Italie sans moi. J’étais un peu triste car on avait prévu de faire la traversée ensemble. Je suis donc resté en Tunisie. J’ai travaillé comme saisonnier pour les olives. On était 7 personnes à loger dans une chambre en s’associant pour le loyer. Tout le travail était fait à la main. Je devais sortir le bois qui était stocké dans de l’eau salée et le déposer à terre pour que le soleil le sèche. Un mois après le départ de mon ami, je suis rentré en Italie. Un monsieur en Tunisie a négocié une pirogue et nous avons traversé. Heureusement, j’avais pu recevoir un peu d’argent de ma famille. Nous étions 24 sur la pirogue. La traversé s’est bien passée, mais arrivés en zone internationale, nous avons été attrapés et mis dans un camp de migrants en Sicile. Le lendemain, on nous a dit de nous préparer pour aller sur un bateau. Nous sommes restés en quarantaine une semaine puis ce bateau et il nous a envoyés dans un autre camp, à Pescara. Nous avons eu un bon accueil.
Avec un ami rencontré en Italie, nous avons décidé d’aller en France. On a pris le train jusqu’à Turin. On est arrivés la nuit. Impossible de prendre un bus à cette heure, alors on a dormi dehors là-bas. Nous étions 4 en tout. Quelqu’un est venu pour nous guider, et nous a expliqué comment prendre le bus pour Cuneo. On a pris le train là-bas, qui nous a envoyés à la frontière français. C’est là que les policiers nous ont contrôlés. Nous avons été envoyés dans un autre camp, sous les montagnes, près d’une forêt. Le lendemain, j’ai demandé à un jeune quel bus partait vers la France. Il m’a dit qu’il n’y avait pas de bus qui amenait directement en France ; ils ne menaient qu’aux trains. J’ai donc pris un bus en direction de la gare, et une fois là-bas, j’ai pris un train. J’ai fait un changement à Monaco, direction Marseille. J’ai choisi cette ville car un de mes frères y vit.
En novembre je suis arrivé. J’ai dormi à la gare car mon frère n’était pas sur Marseille, et il est venu me chercher le lendemain matin, pour m’accompagner au commissariat de police. Il a raté l’école à cause de moi ! La police m’a dit d’attendre et que l’association RAMINA allait venir me chercher. J’ai attendu 1h avec mon frère, et l’asso est venue me chercher. Le premier jour, on m’a envoyé chez Romain, j’ai dormi là-bas. Le 2e jour, on m’a envoyé dans une autre famille d’accueil pour 2 jours. Puis j’ai passé 15 jours dans une autre famille. Ensuite, c’est l’ADAP 13 qui m’a pris en charge et j’ai été placé en hôtel. J’ai changé d’hôtel et maintenant je reste là. Je suis les cours de français de RAMINA et le mercredi, on joue parfois au foot au Coco Velten.
Je vais être scolarisé à la rentrée une fois que mes vaccins seront à jours. J’aime lire des livres. En Guinée Conakry, j’ai fait l’école jusqu’en 9e (collège). Je souhaite prendre la religion de mon père, je verrai pour aller dans une église lorsque je parlerai mieux français. J’ai hâte d’être scolarisé. On a ensuite repris le chemin avec mon ami pour aller en Tunisie. On ne travaillait pas, on n’avait pas de quoi manger, mais on était ensemble. Il avait fait des vacances au Sénégal et avait appris à pécher. En tout, nous avons passé 8 mois ensemble, mais il est parti en Italie sans moi. J’étais un peu triste car on avait prévu de faire la traversée ensemble. Je suis donc resté en Tunisie. J’ai travaillé comme saisonnier pour les olives. On était 7 personnes à loger dans une chambre en s’associant pour le loyer. Tout le travail était fait à la main. Je devais sortir le bois qui était stocké dans de l’eau salée et le déposer à terre pour que le soleil le sèche. Un mois après le départ de mon ami, je suis rentré en Italie. Un monsieur en Tunisie a négocié une pirogue et nous avons traversé. Heureusement, j’avais pu recevoir un peu d’argent de ma famille. Nous étions 24 sur la pirogue. La traversé s’est bien passée, mais arrivés en zone internationale, nous avons été attrapés et mis dans un camp de migrants en Sicile.
Le lendemain, on nous a dit de nous préparer pour aller sur un bateau. Nous sommes restés en quarantaine une semaine puis ce bateau et il nous a envoyés dans un autre camp, à Pescara. Nous avons eu un bon accueil. Avec un ami rencontré en Italie, nous avons décidé d’aller en France. On a pris le train jusqu’à Turin. On est arrivés la nuit. Impossible de prendre un bus à cette heure, alors on a dormi dehors là-bas. Nous étions 4 en tout. Quelqu’un est venu pour nous guider, et nous a expliqué comment prendre le bus pour Cuneo. On a pris le train là-bas, qui nous a envoyés à la frontière français. C’est là que les policiers nous ont contrôlés. Nous avons été envoyés dans un autre camp, sous les montagnes, près d’une forêt. Le lendemain, j’ai demandé à un jeune quel bus partait vers la France. Il m’a dit qu’il n’y avait pas de bus qui amenait directement en France ; ils ne menaient qu’aux trains. J’ai donc pris un bus en direction de la gare, et une fois là-bas, j’ai pris un train. J’ai fait un changement à Monaco, direction Marseille. J’ai choisi cette ville car un de mes frères y vit. En novembre je suis arrivé. J’ai dormi à la gare car mon frère n’était pas sur Marseille, et il est venu me chercher le lendemain matin, pour m’accompagner au commissariat de police. Il a raté l’école à cause de moi ! La police m’a dit d’attendre et que l’association RAMINA allait venir me chercher. J’ai attendu 1h avec mon frère, et l’asso est venue me chercher. Le premier jour, on m’a envoyé chez Romain, j’ai dormi là-bas. Le 2e jour, on m’a envoyé dans une autre famille d’accueil pour 2 jours. Puis j’ai passé 15 jours dans une autre famille. Ensuite, c’est l’ADAP 13 qui m’a pris en charge et j’ai été placé en hôtel. J’ai changé d’hôtel et maintenant je reste là. Je suis les cours de français de RAMINA et le mercredi, on joue parfois au foot au Coco Velten.
Je vais être scolarisé à la rentrée une fois que mes vaccins seront à jours. J’aime lire des livres. En Guinée Conakry, j’ai fait l’école jusqu’en 9e (collège). Je souhaite prendre la religion de mon père, je verrai pour aller dans une église lorsque je parlerai mieux français. J’ai hâte d’être scolarisé.
Je vous partage un clip d’un chanteur que j’aime beaucoup.
Rdv en fin de semaine pour une nouvelle parole de minot Likez, partagez, bouléguez ✌️️
Je vais avoir 19 ans dans quelques semaines. Je remercie tous les bénévoles, tous les gens qui m’ont aidé. Ici en France, je vois que les gens sont gentils car ils aident les étrangers. Je viens de la Guinée Conakry, je suis peul. Les peuls sont un peuple d’éleveurs, nous avons notre propre langue. Il existe des peuls au Sénégal, au Mali, au Tchad, au Niger, en Guinée Bissau, au Burkina, au Nigéria et même au Cameroun. On parle tous une langue qui ressemble et le plat peul le plus connu de Guinée est le lathiri. C’est de la farine de maïs cuite avec du lait caillé.
Rendez-vous en début de semaine prochaine pour une nouvelle parole de minot ; likez, partagez, bouléguez ✌️
Je vis maintenant à Arles.
Quand j’étais à Marseille, ma vie n’était pas agréable mais maintenant que je suis à Arles je me sens très bien. Les conditions de vies sont vraiment bien et la nourriture aussi. Aussi, maintenant je vais à l’école et là-bas j’ai beaucoup d’amis et chaque professeur est très utile et a une bonne personnalité. Mais ici il y a un problème que je n’avais pas à Marseille c’est les transports. A Marseille, il n’y a pas de soucis pour les transports mais ici c’est un problème. Si je rate le bus le prochain arrive une heure après.
Le week-end je vais dans des nouveaux endroits comme la semaine dernière où je suis allé à la plage, et des fois je vais au stade pour regarder les match de football. Donc je passe de bons week-end ici. Dans mon foyer, chaque personne est vraiment bien et utile. Et les autres jeunes comme moi sont vraiment très amicaux. Donc je pense que maintenant je suis vraiment heureux dans ma vie ici.
Aussi une chose importante et qu’ici tous les jeunes parlent français donc ça m’aide beaucoup à apprendre le français et je fais de mon mieux pour apprendre le français. Actuellement, j’essaye d’écouter des musiques françaises et de regarder des films français pour apprendre la langue.
Pour finir, voici un lien youtube de ma chanson préférée ; j’essaye tout le temps de l’écouter quand j’ai du temps libre.
Rendez-vous en fin de semaine pour une nouvelle parole de minot ; likez, partagez, bouléguez ✌️
Ce n’est pas mon vrai nom, je suis ghanéen. Au pays, j’allais à l’école toute la semaine , et je rentrais le week-end au village. Mon père était agriculteur, et travaillait sur ses parcelles je l’aidais quand je revenais.
Mais les foulanis, à cause de la sécheresse avec leurs très grands troupeaux, des milliers de bêtes, se sont rapprochés des villages et finalement ont envahi les parcelles cultivées d’Agogo, les cultivateurs se sont défendus, mais quand je suis arrivé pour aider ma famille, ils avaient tué mon père, à la machette, et brûlé son corps dans la cour.
Je suis devenu fou, et lorsque la police est arrivée bien après les massacres, j’ai voulu les frapper parce qu’ils avaient mis beaucoup d’heures pour arriver trop tard.
Alors ils ont voulu m’attraper, mais ma mère m’a envoyé sans un autre village pour me cacher, et c’est comme ça que j’ai quitté le pays pour rejoindre l’Europe.
J’adore le football, et j’aime l’équipe du Ghana.
Rdv lundi pour une nouvelle parole de minot. Partagez, likez, bouléguez 😉
J’ai déjà publié deux paroles de minot depuis un an. J’ai 17 ans et je viens de Guinée. Je suis rentré en France en avril 2021.
Actuellement, je suis dans les mains de l’association RAMINA. Même si je vais à l’école, des fois je me réveille la nuit et je pense à ma situation. Je ne dors pas très bien. Malgré la soutenance de RAMINA, je pense à ce que va devenir ma vie. Avec l’école, j’ai découvert des activités, comme le cinéma ou l’escalade. On nous a fait découvrir la Vieille Charité. M
ais quand je cherche des stages pour faire l’apprentissage, je ne trouve pas de responsable légal pour signer et ça me cause des soucis.
Comme on arrive dans l’été, je ne sais pas comment ça va se passer et ma situation est un peu critique. Je voudrais remercier les bénévoles qui m’ont soutenu jusqu’à aujourd’hui, malgré ma situation. Ils me respectent beaucoup et je les respecte beaucoup. Je voudrais devenir une grande personne pour réaliser mon rêve.
Pour finir, je voudrais vous partager cette chanson que j’écoute des fois la nuit quand je n’arrive pas à dormir.
Rdv vendredi pour une nouvelle parole de minot. Partagez, likez, bouléguez 😉